Vous avez bien dit durabilité ?
Le réseau routier est un patrimoine. Par sa qualité, sa variété, sa capillarité et sa densité, celui de la France a longtemps fait référence.
A l’heure du 2.0, il est d’ailleurs le premier réseau social du pays. Ce patrimoine précieux, il faut régulièrement l’entretenir pour assurer la mobilité des biens et des personnes, leur sécurité et la protection de l’environnement. Pourtant, il s’est considérablement dégradé ces dernières années. En France, mais aussi chez nos voisins européens, ou encore, aux Etats-Unis. La cause est partout la même : la crise des finances publiques et, dans son sillage, la chute drastique des investissements.
Et pourtant, cette dégradation a un coût élevé. Un coût économique lié à des temps de parcours plus élevés, environnemental en raison de la congestion des trafics et humain pour cause d’insécurité routière. Ce coût est également financier, puisqu’il faudra, un jour, réinvestir lourdement pour remettre à niveau ces infrastructures.
Ce jour est arrivé.
Pleinement conscients de ces enjeux, les décideurs, les constructeurs et les exploitants d'infrastructures se mobilisent. Le plan de relance autoroutier, initié par l’Etat français, en est la preuve. Il sonne clairement la relance de l’investissement pour moderniser le réseau routier français, à condition que les collectivités locales prennent le relais.
Et si la reprise des investissements est une réponse, l’argent ne fait pas tout. Investir, oui, mais à condition d’investir durable. Finances obligent.
La solution est aussi technique.
Elle s’appelle « bitumes modifiés polymères ». Des bitumes qui offrent une longévité accrue avec, à la clé, des coûts d’entretien réduits et des interruptions intempestives de trafic moins fréquentes. Ces atouts, ces liants les doivent à plusieurs propriétés : une moindre susceptibilité thermique, un bon comportement à froid, une élasticité et une résistance au fluage et à la fatigue. Combinées, ces propriétés renforcent la résistance des chaussées et leur durée de vie. Des chaussées soumises à des contraintes de trafic et climatiques toujours plus intenses et extrêmes.
A l’heure de l’obsolescence programmée de nombreux équipements du quotidien, les acteurs de la route et Shell Bitumes prennent le contrepied. C’est une chance pour la route et pour nos routes qui font aussi la fierté de notre pays.
Frank Beer
Directeur Technique Shell Bitumes Europe et Afrique du Sud
« Le réseau routier est le plus grand bien qu’une nation puisse posséder. Par exemple, notre réseau routier européen se compose de 5,5 millions de kilomètres, ce qui coûterait plus de 8000 milliards d’euros à reconstruire, il n’est donc pas envisageable de revenir en arrière et de reconstruire ce réseau. »
« Les prévisions indiquent une augmentation de la population et de plus en plus de personnes vivant dans les villes. Pour y répondre, nous avons besoin de solutions qui s’appuient sur du bitume de qualité supérieure pour améliorer la durabilité des enrobés, prolonger les intervalles de maintenance et favoriser la réouverture des routes au plus tôt. »
Pour améliorer la durabilité de TOUTES les routes, Shell Bitumes a renouvelé sa gamme Cariphalte en l’adaptant aux spécificités du marché français.
L’objectif : rendre les bitumes modifiés polymères accessibles au plus grand nombre.
Plus large, la gamme Shell Cariphalte propose des solutions durables pour tous les usages et pour tous les budgets, de la grande autoroute urbaine à fort trafic aux routes nationales et départementales. Et cela, en améliorant la performance.