Plus propre que le diesel conventionnel, ce carburant compatible avec les motorisations diesel est en cours de lancement sur le marché français par Shell, figurant parmi les pionniers de cette technologie. La CTS, toujours à l’affut de solutions lui permettant d’agir en faveur de l’environnement, a décidé d’expérimenter le GTL pendant six mois, sur dix de ses véhicules (AGORA Euro3). Le GTL étant immédiatement substituable au gazole, la mise en oeuvre de l’essai n’a nécessité aucune modification technique des moteurs.

À travers cette expérimentation, débutée en septembre 2016, la CTS cherche à évaluer l’intérêt et la pertinence de cette source d’énergie en termes de consommation et donc d’incidence financière, mais aussi de qualité de conduite et d’impact potentiel sur la maintenance.

Si les résultats technico-économiques s’avèrent probants, le GTL constituerait pour la CTS une solution transitoire applicable à l’ensemble de sa flotte de bus diesel. Elle permettrait de réduire significativement l’émission de polluants locaux en attendant le renouvellement planifié du parc bus de l’entreprise par des véhicules plus propres.

Pour Shell, qui commercialise depuis cinq ans le GTL aux Pays-Bas, ce premier partenariat en France dans le secteur des transports publics urbains est une formidable opportunité de mettre en évidence dans ce secteur l’intérêt du GTL en matière de transition énergétique.

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